Nous avons le plaisir de vous annoncer l’ouverture des souscriptions pour la construction du Moulin de Verrières à hauteur de 150 000 € (8 % du budget total).
Nous vous invitons à vous connecter au site pour découvrir les conditions détaillées de l’offre et confirmer votre intérêt pour le projet en souscrivant dès maintenant.
La date de clôture des souscriptions est fixée au 15 septembre au plus tard. Les souscriptions sont plafonnées à 10.000€ par personne. Ce plafond sera levé le 16 août.
Mise à jour des données techniques de l'installation.
Et cette bonne nouvelle ne vient pas seule !
En effet, le Moulin de Verrières, comme celui de Courteron, va bénéficier du nouveau tarif d’achat de l’électricité hydraulique H16, plus élevé en moyenne annuelle que le tarif initialement envisagé.
Ces nouvelles conditions ont permis de revoir à la hausse les investissements et d'augmenter la diamètre de la turbine Kaplan de 1900 mm à 2000 mm et donc la production annuelle d’électricité renouvelable de près de 20%.
Avancement des travaux
Le chantier a démarré le 22 novembre 2016.
La première étape est le « batardage », c'est à dire la mise à sec du bras de la Seine qui alimente le Moulin (appelé « bief ») avec la constitution de deux digues (ou « batardeaux ») :
- une première à 80 m en amont du vannage
- un second en aval au niveau du gué
L'entreprise Alexandre Réaut Terrassement va réaliser ces travaux. Cette entreprise de Courteron, à quelques kilomètres en amont, a déjà démontré son savoir-faire et son sérieux en travaillant pour les mêmes porteurs de projet sur le Moulin de Courteron.
Merci à Alexandre Réaut pour ces premières photos.
Un mois plus tard, le 18 décembre, vue sur le batardeau amont et le bief asséché.
Voici les dernières photos suite à la visite du chantier le 9 juin dernier : les engins descendent dans le lit du bief par un chemin aménagé à l’emplacement de la future entrée du passage d'eau.
Le canal d’amenée entre le bartadeau amont, l’ensemble des vannes et l’aval des vannes ont été bien nettoyés.
L’accès à l’île (appartenant aux porteurs de projet) est rendu possible par l’assèchement du bief. C’est l’occasion de faire un grand nettoyage de cette « jungle » spontanée.
Avec un cahier des charges très strict : il s’agit essentiellement de nettoyer le pourtour de l’île dont les arbres ou branches mortes pourraient obstruer les ouvrages hydrauliques.
A chaque essence d’arbre, la taille la plus adaptée : les saules sont mis en têtard à 1,5 m ; les aulnes sont recépés ; les frênes atteints de la chalarose doivent être abattus systématiquement.
Le bois de coupe sera en plaquettes pour alimenter des chaufferies à bois.
xxx xxxxxxxx xxxxxxx xx xxxx xxxxxxxxxx