Le secteur des énergies renouvelables, comme les autres secteurs relevant des infrastructures, nécessite d’importants investissements pour la réalisation des projets. De manière générale, le financement de ces besoins est assuré par :
Le financement participatif permet ainsi d'accéder à une classe de produits qui n'est pas accessible autrement pour les particuliers. Il vient se substituer dans une petite proportion (souvent comprise entre 5 et 10% du besoin total) soit à l'apport en fonds propres réalisé par le porteur de projet, soit à la dette du (des) banque(s) qui supporte(nt) l'engagement principal.
Le rôle de Lumo est de vous permettre d’accéder à des supports d’investissement de qualité et de veiller à la protection de vos intérêts sans compromis sur le rendement financier.
Notre sélection est stricte, ce que nous assumons. Elle est aussi transparente.
L'analyse des projets se fait en 3 étapes
La solidité d’un projet repose sur :
Les premiers échanges nous permettent rapidement d'évaluer :
Après la première étape, si un accord de principe pour poursuivre l’analyse est donné, nous requérons du porteur une liste de documents, et d’informations chiffrées, par exemple :
Sont écartés les projets pour lesquels les informations fournies sont incomplètes ou jugées insatisfaisantes.
Cette phase permet de vérifier, documents et chiffres à l'appui, l'évaluation faite pendant la 1ère phase.
Sont vérifiés :
Par ailleurs, en fonction des technologies utilisées, nous allons nous assurer que certains ratios sont respectés tout en réalisant des simulations pour mesurer l'impact d'une moindre production d'électricité ou de gaz.
Enfin, nous allons comparer la quote-part du financement participatif par rapport à l’investissement global, à la dette bancaire et aux fonds propres apportés. Nous nous attarderons aussi à mesurer l’impact de cette opération sur les flux de trésorerie générés par le projet.
Un processus d'escalade permet de traiter les cas particuliers.
Le processus suit le schéma suivant :