Vision 2026 - Tranche 4
Après avoir levé 8 millions d'euros en financement participatif sur Lumo en 2021, CVE souhaite procéder à une nouvelle levée de fonds du même montant en 2022. Cette collecte sera constituée de plusieurs tranches, afin de financer la suite du plan de développement du groupe et sa diversification multi-pays et multi-énergies
- L’expertise de CVE dans le secteur des énergies renouvelables et sa gestion de 250 projets du développement à l’exploitation, en passant par la construction
- Son plan de développement ambitieux sur 3 marchés d'énergies renouvelables (solaire, biogaz, hydroélectricité) à échelle nationale et internationale
- Ses contrats de vente de l’électricité en France sécurisés auprès d’EDF sur 20 ans
- Sa récente levée de fonds de 100 M€ auprès d'ICG
- Sa forte capacité depuis 10 ans à mobiliser les investisseurs privés pour les associer au succès de leurs projets
- Un financement au niveau holding
- Risque lié au métier de l'émetteur
- Risque de liquidité
- Risque de perte en capital
En savoir plus
Le groupe CVE - Changeons notre Vision d’Énergie - est un producteur indépendant français d’énergies renouvelables, multi-pays et multi-énergies.
Créée en 2009, l’entreprise marseillaise est implantée en France et à l’international (Chili, États-Unis, Afrique). Tout d’abord spécialisée dans le photovoltaïque, elle s’est diversifiée dans le biogaz et l’hydroélectricité.
Le Groupe est dirigé par 3 associés expérimentés – Pierre de Froidefond, Hervé Lucas et Arnaud Réal del Sarte – et repose sur un modèle commercial totalement intégré couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur du cycle de vie de ses actifs.
Face aux enjeux sociétaux majeurs que sont le dérèglement climatique et la destruction de la biodiversité, les questions qui se posent sont : comment s’engager ? À quel rythme ? Avec quelle ambition politique et industrielle ? Territoires, collectivités et entreprises peuvent jouer un rôle clé dans la révolution énergétique qui est en marche.
Hervé Lucas, Pierre de Froidefond et Arnaud Réal del Sarte, Associés de CVE
Le Groupe développe, finance et construit des centrales solaires, hydroélectriques et des unités de méthanisation pour les exploiter en propre dans la durée.
Avec une capacité nette totale d’énergie renouvelable de 532 MW en exploitation et construction, le parc de CVE permet d’alimenter chaque année en énergie verte l’équivalent d’une ville de 396 000 habitants. Depuis 2015, le volume de ce parc a été multiplié par plus de 12.
Capacité installée au 31/12/2021
Parallèlement, le chiffre d’affaires de vente d’énergie du Groupe a progressé de 750% depuis 2015, pour atteindre 50 M€ en 2021.
Enfin, les effectifs du Groupe ont suivi cette forte progression puisque l’entreprise compte aujourd’hui 257 collaborateurs, contre 51 en 2015.
Le groupe CVE est une entreprise du secteur des énergies renouvelables qui place avant tout l’humain au centre de son projet industriel. Entreprise à taille humaine, elle a fait le choix d’internaliser toutes les compétences nécessaires à son développement avec une équipe d’experts engagée autour de valeurs communes et ayant pour ambition de devenir un acteur prépondérant de la transition énergétique.
La vision stratégique du Groupe est de répondre aux besoins énergétiques et environnementaux des entreprises et des collectivités dans un modèle de vente directe. Aussi, le groupe ambitionne d’avoir un modèle d’énergie renouvelable décentralisée, permettant de construire un véritable « circuit court » de l’énergie verte. Cette approche du marché des EnR s’inscrit dans la formidable dynamique de la transition énergétique portée par la prise de conscience de la nécessité d’agir. Entreprises et collectivités peuvent ainsi, non seulement se fournir en énergies renouvelables dans une démarche responsable, mais aussi mieux piloter leur consommation.
Le groupe prévoit d’atteindre 2,3 GW de projets solaires, biogaz ou hydroélectriques, en France et à l’international (plus de 50%) à horizon 2026.
Les ambitions de CVE sont les suivantes :
- Multiplier par 5 sa capacité installée en France et à l'international (majoritairement solaire)
- Financer son mix énergétique en accélérant l’activité de méthanisation et en développant l’hydroélectricité
Aujourd’hui, l’activité du groupe CVE se concentre principalement sur la production d’électricité d’origine photovoltaïque en France avec 235 sites en exploitation et construction. Le projet vise à développer les infrastructures françaises, en multipliant par 3,5 en 5 ans sa capacité installée dans l'hexagone.
Sa croissance passe également par l’étranger, et plus particulièrement par le Chili et l’Amérique du Nord où les investissements étrangers connaîtront une forte croissance dans le portefeuille du groupe et devraient représenter plus de 50% du portefeuille d’ici 2026.
En parallèle, le projet va diversifier la production énergétique du groupe, notamment en accélérant son activité de méthanisation, qui représentera près de 25% de son chiffre d’affaires de vente d’énergie à horizon 2026 (contre 2% aujourd’hui), ainsi qu’en déployant son activité dans l’hydroélectricité.
Plan d'affaires
* les élements présentés sont prévisionnels et sont fournis à titre indicatif par l'Emetteur.
Le plan d’affaire à 5 ans du groupe nécessite des investissements importants. C’est pourquoi différentes sources de financement, notamment le financement participatif, sont envisagées pour faire face aux besoins à venir.
- En 2020 et afin de renforcer significativement ses fonds propres, Intermediate Capital Group plc, un gestionnaire de placements alternatifs au niveau mondial, a investi 100 millions d’euros en fonds propres et quasi-fonds propres dans CVE via son activité d’investissement dans les infrastructures, avec une stratégie durable.
L’horizon d’investissement est de 6 à 9 ans, bloqué sur une période de 5 ans. Pour autant, les associés du groupe CVE gardent le contrôle de la société.
Cette levée de fonds intervient à un moment clé de la vie de CVE pour lui permettre d’accélérer ses efforts d’investissement.
- En décembre 2021, 30 millions d'euros ont été levés au profit de la filiale CVE Biogaz, auprès de Swen Capital Partners, acteur de référence de l’investissement responsable en actifs non cotés.
L'objectif : accélérer le développement de l’activité biogaz de CVE, filialisée à cette occasion et devenir le 1er acteur indépendant du gaz renouvelable en France sur un modèle de méthanisation territoriale.
Depuis sa création en 2009, le Groupe CVE partage les fruits de sa croissance avec les investisseurs privés. En 2021 c'est 8 millions d'euros qui ont été levés sur la plateforme Lumo grâce à plus de 1 600 investisseurs !
Retrouvez les réalisations marquante du Groupe en 2021 ici.
Avec cette nouvelle collecte, CVE continue de proposer à de nouveaux investisseurs de l’accompagner dans son développement et ainsi de prendre part à la transition énergétique.
Les fonds collectés permettront notamment de :
- Compléter ses apports en fonds propres pour financer ses projets en construction,
- Accélérer le développement de ses projets et multiplier par 5 sa base installée,
- Étendre son périmètre géographique avec un objectif de plus de 50% d’activité à l’international à 2026
- Poursuivre sa diversification dans les activités de biogaz et hydro-électricité
[COMMUNIQUÉ DE PRESSE]
Retrouvez les communiqués de presse du groupe sur leur espace dédié
Lire les communiqués de presse
[EXTRAIT JOURNAL TELEVISÉ FRANCE 2 - MARS 2022]
Le biogaz, alternative au gaz russe
[ARTICLE DE PRESSE L'USINE NOUVELLE - 28 SEPTEMBRE 2021]
Installation d’une centrale photovoltaïque au sol sur des zones imperméabilisées de l’ancienne base de l’Otan de Regniowez
[ARTICLE DE PRESSE ENVIRONNEMENT MAGAZINE - 6 SEPTEMBRE 2021]
CVE vend son énergie solaire à SNCF
[ARTICLE DE PRESSE LE JOURNAL DE L'ENTREPRISE - 16 MARS 2021]
Le développement de CVE à l'international et les prochains projets en France
[ARTICLE DE PRESSE DE L'ÉCHO DU SOLAIRE - 15 SEPTEMBRE 2020]
CVE réalise une levée de fonds de 100 millions d'euros auprès de son partenaire ICG pour accompagner sa croissance à horizon 2025
Les certifications ISO 9001 et ISO 14001 de CVE constituent une preuve de leur engagement en matière de transition énergétique. En 2020, ils ont donc renouvelé leur certification qualité ISO 9001 et ISO 14001 pour leur engagement environnemental, valables jusqu’en 2023.
Dès sa création, CVE a en effet décidé de placer la qualité au cœur de l’entreprise. Elle structure leur organisation, l’ensemble de leurs processus et leur efficacité opérationnelle. Elle met constamment l’accent sur la satisfaction de ses clients dans une logique d’amélioration continue. Cet engagement pour la qualité a permis à CVE d’être reconnue rapidement pour sa fiabilité et son sérieux par ses clients et partenaires, qu’ils soient PME ou grandes entreprises du CAC 40.
Depuis sa création, le groupe CVE s’est construit sur une conviction : l’énergie verte doit être produite localement et commercialisée via des modèles de vente directe, permettant à la fois de :
- Réduire l’impact environnemental de cette activité
- Limiter la facture énergétique des clients
- Contribuer à la transition énergétique.
L’objectif du Groupe est ainsi d’apporter des réponses durables aux besoins énergétiques et environnementaux des entreprises et des collectivités dans un modèle de vente directe de l’énergie.
CVE place également l’humain au cœur de sa stratégie. Dès la création du Groupe, les trois associés ont souhaité promouvoir une culture d’entreprise fondée sur le sens pour permettre l’engagement de chacun dans le projet d’entreprise. Le capital humain est ainsi la première richesse chez CVE.
La stratégie de production décentralisée et de vente directe aux entreprises et aux territoires se concrétise avec la volonté de continuer à anticiper les modèles énergétiques de demain.
C’est pourquoi le développement du Groupe se fera en tenant compte de l’évolution des législations dans chaque pays, et des coûts de l’énergie, mais aussi avec un objectif majeur en tête : déployer RespeeR, son offre d’énergie verte locale, vendue en direct, accessible à tous, et continuer à diversifier son mix énergétique avec ses activités biogaz et hydroélectrique.
L’offre RespeeR propose ainsi des solutions de fourniture d’électricité verte au travers de « corporate PPA » ou en autoconsommation pour les entreprises et les acteurs publics en France et à l’international.
CVE entend, par son action, participer à la transition énergétique, qui lui donne une formidable opportunité d’innover, d’inventer des nouveaux modèles énergétiques, et d’apporter des réponses solides aux enjeux environnementaux devenus une priorité pour le monde entier.
Créé en 2009, le groupe évolue dans un marché mondial en forte expansion - une augmentation attendue de plus de 50% de nouvelles capacités renouvelables d’ici 2026 – et dans un environnement concurrentiel qui lui est favorable compte tenu de son expérience et de l’internalisation de toute la chaîne de compétences.
En France : le succès de l’offre RespeeR
RespeeR est une solution de fourniture d’électricité verte pour les fournisseurs, les entreprises et les collectivités. Elle se décline en 2 offres :
- Le PPA » (Power Purchase Agreement) : un contrat de long terme entre un producteur d’énergie photovoltaïque et un consommateur d’énergie
- L’autoconsommation : CVE installe sur le site du client un générateur photovoltaïque, la production de la centrale est ensuite mise à la disposition du client, en amont du compteur.
Le développement de l'activité de biogaz
L’activité biogaz a, quant à elle, connu une forte accélération en 2020 en France, puisque le parc a progressé de 45%. Aussi, 14 contrats de vente du biométhane ont été signés sur des unités en fin de développement.
CVE Biogaz totalise aujourd’hui 6 unités en exploitation ou construction et près de 30 projets en cours de développement, représentant une production d’énergie de 647 GWh/an.
Enfin, l’activité de collecte de déchets organiques a conclu sa 2ème année pleine d’exercice avec plus de 100 000 tonnes sécurisées. Quant à l’activité RégeneR de valorisation des engrais organiques a contracté plus de 33 000 hectares de conventions d’épandage auprès de 250 exploitations agricoles.
En Afrique, CVE contribue à développer la compétitivité des entreprises en leur fournissant une énergie solaire concurrentielle produite sur place, au travers notamment de PPA privés. CVE a ainsi signé plusieurs corporate PPA RespeeR. Le développement se poursuit avec de nouvelles centrales et l’ouverture d’une filiale en Afrique du Sud.
Aux États-Unis : de grandes ambitions appuyées par un doublement des effectifs
Après le développement et la construction des 6 premières centrales (40 MW à ce jour), CVE prévoit d’atteindre à horizon 2026 un parc de 350 MW.
Doté en 2019 d’une direction de l’innovation, CVE investit également dans la recherche pour le développement de nouvelles solutions énergétiques comme le solaire flottant ou l’agrivoltaïsme.
2020 a été, pour nous comme pour l’ensemble des acteurs économiques, une année atypique. Nos équipes ont su faire preuve d’adaptabilité, de résilience. C’est grâce à cela que nous avons pu garder le cap de développement que nous nous étions fixé. Nous avons également pu compter sur la confiance et l’appui solide de nos partenaires, au premier rang desquels ICG qui a investi 100 m€ pour financer notre plan de développement. Tous, nous ont permis de poursuivre nos recrutements, nos projets, nos chantiers et de limiter l’impact de la crise.
Pierre de Froidefond
Le groupe CVE est organisé autour de :
- La société mère CVE holding qui définit et conduit la politique du groupe et de ses filiales
- Les sociétés intermédiaires :
- Les bureaux d’études et de développement en France, aux États-Unis et au Chili
- La filiale financière CVE Green Finance, qui gère la mise en œuvre de l’ensemble des financements du groupe
- Les holdings d’investissement, qui centralisent les fonds apportés par les investisseurs externes au groupe pour le financement des actifs
Les 7 piliers de CVE sont les suivants :
- S’engager pour une nouvelle vision de l’énergie, renouvelable, produite et consommée localement
- Choisir la qualité comme levier de performance
- Engager une démarche d’entreprise citoyenne et sociétale
- S’inscrire dans une démarche industrielle et environnementale pérenne
- Proposer des modèles économiques compétitifs pour tous
- Partager une aventure humaine fondée sur la responsabilité et l’épanouissement
- Avancer dans la confiance et la transparence
Quels sont les risques liés aux investissements ?
L’investissement dans des titres non cotées comporte des risques spécifiques :
- Risque de perte totale ou partielle du capital investi ou de non-paiement ou de paiement différé des intérêts dus : si l’Émetteur ne peut pas faire face à ses engagements dans le cadre de cette opération, cela peut se traduire par un non versement d’intérêts ou un non remboursement du capital,
- Risque d’illiquidité : la revente des titres est très incertaine et est limitée par les dispositions du Code monétaire et financier et du règlement général de l’Autorité des Marchés Financiers, ainsi que dans certains cas, par des dispositions précisées dans les termes et conditions de l'offre. Les sommes investies sont bloquées et sont remboursées selon l’échéancier décrit dans les termes et conditions et vous ne pourrez pas réclamer un remboursement anticipé,
- Risque d’absence de valorisation : Lumo ne fournit pas de valorisation du titre dans le cadre d’une cession à un tiers,
- Rang de priorité : le paiement des sommes dues aux obligataires peut être sujette au paiement préalable de sommes dues à d’autres créanciers, un rang de remboursement junior signifie qu’en cas de difficulté financière pour l’Émetteur, les règlements au titre de la présente opération sont d’une priorité supérieure à celle des actionnaires, mais inférieure à celle des autres créanciers (les salariés, l’état, les banques et les fournisseurs)
- Risque de perte d’opportunité et de manque à gagner si une hausse des taux d’intérêts survient pendant la durée de votre investissement ou si l’émetteur décide d’un remboursement anticipé.
- Risque lié à l’activité de l’Émetteur : l’activité de l’Émetteur relève d’un domaine dans lequel la rentabilité est directement liée au succès des projets financés. Aucune garantie ne peut être donnée quant à la réalisation des objectifs de l’Émetteur.
Quels sont les risques liés aux investissements ?
L’investissement dans des titres non cotées comporte des risques spécifiques :
- Risque de perte totale ou partielle du capital investi ou de non-paiement ou de paiement différé des intérêts dus : si l’Émetteur ne peut pas faire face à ses engagements dans le cadre de cette opération, cela peut se traduire par un non versement d’intérêts ou un non remboursement du capital,
- Risque d’illiquidité : la revente des titres est très incertaine et est limitée par les dispositions du Code monétaire et financier et du règlement général de l’Autorité des Marchés Financiers, ainsi que dans certains cas, par des dispositions précisées dans les termes et conditions de l'offre. Les sommes investies sont bloquées et sont remboursées selon l’échéancier décrit dans les termes et conditions et vous ne pourrez pas réclamer un remboursement anticipé,
- Risque d’absence de valorisation : Lumo ne fournit pas de valorisation du titre dans le cadre d’une cession à un tiers,
- Rang de priorité : le paiement des sommes dues aux obligataires peut être sujette au paiement préalable de sommes dues à d’autres créanciers, un rang de remboursement junior signifie qu’en cas de difficulté financière pour l’Émetteur, les règlements au titre de la présente opération sont d’une priorité supérieure à celle des actionnaires, mais inférieure à celle des autres créanciers (les salariés, l’état, les banques et les fournisseurs)
- Risque de perte d’opportunité et de manque à gagner si une hausse des taux d’intérêts survient pendant la durée de votre investissement ou si l’émetteur décide d’un remboursement anticipé.
- Risque lié à l’activité de l’Émetteur : l’activité de l’Émetteur relève d’un domaine dans lequel la rentabilité est directement liée au succès des projets financés. Aucune garantie ne peut être donnée quant à la réalisation des objectifs de l’Émetteur.
Qu’est-ce qu’une obligation ?
Puis-je revendre mes investissements?
Vous ne pouvez pa facilement revendre vos investissements à une autre personne. Nous vous conseillons donc de placer une somme à épargner sur une longue durée (plusieurs années).
Combien puis-je investir ?
Le seuil minimum est généralement fixé à 50 € (il correspond à la valeur nominale d'un titre proposé à la souscription)
Les collectes supérieurs à 1 million d'euros ne comportent pas de plafond par investisseur, il est donc possible d'y investir des sommes importantes.
Certaines collectes locales avec des objectifs de collectes inférieurs à 1 million d'euros peuvent favoriser un investissement de proximité et limiter la participation par investisseur. Dans ce cas le plafond de participation maximale est généralement de l'ordre de 5 % du montant de la collecte.
Ce plafond, s'il existe, peut parfois être supprimé au cours de la période de souscription.
Comment intervient mon investissement dans le financement du projet ?
Lorsque la collecte est ouverte aux souscriptions, soit il vient compléter le financement déjà réuni par le porteur de projet et parfois la participation d'une banque partenaire, soit il se substitue à une partie de ces financements.
Comment suis-je remboursé(e) ?
Vos remboursements et vos intérêts sont versés sur votre compte de paiement Lumo accessible depuis votre espace "Mon compte"sur Lumo. Vous pouvez alors choisir de participer à un nouvel investissement disponible sur le site et/ou de transférer vos avoirs vers un autre compte bancaire de votre choix.
Quelle est la fiscalité des intérêts versés ?
Si vous êtes particulier résident fiscal en France, les intérêts générés par votre placement sont soumis à la "flat tax" de 30%.
Cet impôt est prélevé à la source lors du versement de chaque échéance et se décompose en :
- 12,8 % d'acompte sur l'impôt sur le revenu.
- 17,2 % de prélèvements sociaux.
Mon investissement donne-t-il droit à des avantages fiscaux ?
Non, ce placement ne donne droit à aucune réduction d’impôt ou avantage fiscal, ni en termes d’impôt sur le revenu, ni en termes d’impôt sur les sociétés.
Ces informations sont communiquées à titre purement informatif et ne constituent ni un conseil ni une recommandation. Nous vous recommandons de vous adresser à vos conseils personnels externes. En France, vous pouvez aussi consulter le site de l’administration pour les particuliers : https://www.impots.gouv.fr/portail/particulier/revenus-de-capitaux-mobiliers-et-plus-values-mobilieres et pour les personnes morales : www.service-public-pro.fr et https://bofip.impots.gouv.fr/bofip/3775-PGP.html?identifiant=BOI-RPPM-RCM-20-20120912
Tout ce qu’il faut pour nous aider à transitionner!
Merci, bien cordialement
Eric MICHEL
Également inquiet du changement climatique comme tout le monde.
Il faut agir.
Trouver du rendement dans la protection des générations futures , et par extension, la protection de la vie en généra, fait totalement sens pour moi.
Dans l'unité de méthanisation Equimeth à Moret-Loing-et-Orvanne, en Seine-et-Marne, des tonnes de poussières de céréales vont être déposées pour être transformées en biogaz et ainsi réduire la dépendance de la France au gaz fossile.
Entourées de champs de céréales, des cuves géantes serviront à la transformation de milliers de tonnes de déchets organiques en biogaz, qui alimentera le réseau de gaz et contribuera à chauffer une demi-douzaine de communes environnantes.
Ici, chaque année, 25.000 tonnes de matières, dont des poussières de céréales, du crottin de cheval et des déchets alimentaires... sont ainsi "valorisées", selon le terme usité.
Le biogaz est issu de la dégradation de la matière organique par un régime bactérien en l'absence d'oxygène.
Arnaud Bossis, directeur général de CVE Biogaz
Dans le contexte de pénurie et de raréfaction du gaz russe, on est vraiment content d'avoir du biométhane en France.
Thierry Trouvé, directeur général de GRTGaz.
Une capacité de production de 60 térawattheures par an d'ici 2030 : "cela couvrivrait deux tiers de ce qu'on importait de Russie avant le conflit", ajoute M. Trouvé.
GRTGaz va jusqu'à estimer que d'ici 2050, la France pourrait bénéficier d'une indépendance gazière totale, sans toucher au potentiel agricole à destination de l'alimentation des Français, par le recyclage des matières et des déchets agricoles.
Le secteur du biométhane en France connaît la croissance la plus rapide d'Europe.
European Biogas Association (EBA)
La France pourrait ainsi devenir à l'horizon 2030 le deuxième producteur du continent. Avec un millier de projets qui pourraient voir le jour d'ici 2025.
Ce développement devrait être favorisé par une disposition de la loi Anti-gaspillage (Agec), qui prévoit que tous les particuliers disposent d'une solution pratique de tri de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.
CVE a signé une charte d'engagement en faveur d’EcoWatt, aux cotés de 40 grandes entreprises de la Région Sud.
Ce dispositif citoyen développé par RTE (Réseau de Transport d'Electricité) en partenariat avec l’ADEME, guide l’ensemble des acteurs économiques du territoire pour adopter les gestes permettant de réduire la consommation d’électricité lors des périodes de tension.
Cette initiative s’inscrit dans le prolongement des engagements de CVE.
Depuis plusieurs mois, CVE multiplie ses efforts pour une consommation énergétique raisonnée. À l’image de la signature du "Bail engagé climat" avec Icade, ce partenariat amplifie son objectif de réduction de la consommation de son siège social.
Le rapport «Marché mondial Serre photovoltaïque» fournit une base solide pour évaluer les Serre photovoltaïque :
- une évaluation claire du potentiel de changement de la dynamique concurrentielle.
- une perspective prospective sur les différents facteurs qui stimulent ou limitent le développement du marché
- une prévision à six ans basée sur l’évolution attendue du marché
- permet de mieux comprendre l’avenir des sections de produits importantes
- une évaluation rapide de l’évolution de la dynamique concurrentielle.
- aide les entreprises à prendre des décisions commerciales éclairées en ayant des perspectives complètes sur le marché.
Il met en évidence **les principaux acteurs mondiaux de l’entreprise OPUS ET VITA, CVE, Richel, Polysolar, Urbasolar, Meeco, Reden Solar, Gakon, METALSISTEM, Akuo Energy, Ininsa avec des profils organisationnels particuliers, des informations sur l’industrie, la persistance des produits, des scénarios et des offres.
Accédez au rapport d’échantillon gratuit ici.
Vous êtes 626 à avoir contribué au succès de la 4ème tranche de la collecte "Vision 2026" par CVE avec un total de 2 584 100 € investis en faveur de la transition énergétique !
Les solutions photovoltaïques, une énergie renouvelable qui permet aux entreprises de répondre à trois enjeux majeurs :
- Sécuriser une partie de l’approvisionnement énergétique et alléger sa facture.
- Démontrer un engagement RSE fort avec un projet concret et visible pour les collaborateurs, clients et partenaires.
- Se conformer à la règlementation avec notamment le décret tertiaire et la loi énergie-climat.
Découvrez, à travers l'interview de Olivia M., responsable des comptes stratégiques BtoB de CVE, les spécificités et avantages de leurs offres d’autoconsommation solaire.
Voir l'interview vidéo ici.
En 2014 CVE faisait la demande d’une extension du plan d’épandage.
Le projet de création d’une unité de méthanisation, sur le site de Loge-Begoarem, à Bannalec, vient maintenant d’achever sa phase de consultation.
La balle est dès lors dans le camp du préfet du Finistère, qui doit donner le feu vert à ce dossier.
L’exploitant espère maintenant lancer la production de biogaz en mai 2024.
La station de biogaz de Bannalec en chiffres :
- 22 000 à 25 000 tonnes de matières organiques valorisées chaque année;
- 280m3 de biométhane produit par heure (équivalent de la consommation en gaz de 3000 foyers);
- 2000 hectares de terres agricoles fertilisées chaque année par l'engrais organique;
- 1M d'euros par an annoncés en retombées en exploitation, injectés dans l'économie locale pour la maintenance, le transport, l'épandage;
- 30 000 € de taxes reversées localement;
- 10 emplois créés qualifiés et non délocalisables, directs et indirects;
- 30% à 50% d'économies par an pour les exploitants agricoles, en diminuant l'achat d'engrias de synthèse remplacé par l'engrais organique
- 40 km, c'est el rayon maximum de la collecte de la matière organique
CVE est mis à l’honneur dans cet échange qui revient sur son rôle dans la transition énergétique, sa vision de l’innovation et l’esprit d’entreprise qui caractérise l'entreprise.
Ce Bail Engagé Climat s'inscrit dans sa volonté de limiter son impact environnemental et contribue à son objectif bas-carbone.
CVE dispose désormais d’un "cadre permettant de rendre compte de la performance environnementale du bâti, d’organiser la réduction de l’impact et de contribuer au développement de puits carbone labélisés Bas Carbone pour des immeubles « zéro émission nette » (bâti et usage)."
Fondée sur quatre grands principes - engageant, partenarial, évolutif et piloté - cette nouvelle convention vient renforcer la performance environnementale de leur siège social.
Cet automne, nous avons cinq fois plus de demandes d’entreprises pour du photovoltaïque que l’année dernière. Face à l’urgence, nous avons inventé un nouveau modèle, en contournant le problème de l’immobilisation du foncier. Il s’agit d’installer une petite centrale au sol, lestée, à proximité du site de consommation, avec une électricité 100 % consommée sur place. C’est possible en 8 à 10 mois maximum, à la place des 24 mois, voire plus, pour une installation classique au sol.
Ségolène de Portal, responsable développement photovoltaïque, CVE
La particularité de cette offre, est que l’industriel ne s’engage pas sur 20 ou 30 ans, mais sur seulement cinq ans. Pendant cette période, le photovoltaïque peut permettre de couvrir 5 à 30% des besoins électriques du site.
CVE vise 25 à 30 projets par an d’ici à trois ans.
En attendant, un site pilote est en test, près de Lyon, pour affiner quelques points, comme le coût de cette installation temporaire, l’assurance, la logistique entre les sites ou encore la technologie des panneaux utilisée.
La responsable AgriPV et la Directrice Innovation de CVE ont présenté le projet "Pirum Aqua Solar", lors du Salon Med Agri en Avignon.
Le projet [Poire, Eau, Soleil] propose une étude comparative sur un démonstrateur agrivoltaïque installé sur des poiriers, avec des panneaux semi transparents d'un côté et des panneaux pleins de l'autre, au sein de la Station d'expérimentation arboricole de LA PUGERE.
Une phase de test qui permettra d'évaluer de façon scientifique les bénéfices suivants :
- la réduction naturelle du taux de floraison des arbres (et donc la limitation de l'utilisation de produits phytopharmaceutiques),
- la protection contre les différents aléas climatiques (gel, grêle, ensoleillement…),
- la réduction de l'évapotranspiration du sol et de l'arbre,
- la production d'une électricité verte en co-usage vertueux d'une exploitation agricole
Vous êtes déjà 276 investisseurs à avoir fait part de votre intérêt pour cette 4ème tranche d'investissement responsable "Vision 2026" par CVE.
Il ne reste plus que 41 jours pour donner du sens à son investissement en donnant vie au projet, pour une transition énergétique durable !
Concilier agriculture, aménagement du territoire et impacts économiques, sociaux et environnementaux, c'est un équilibre que CVE s'attache à respecter.
Marie-Laure CHARLOT, responsable développement biogaz, et Clément Heirwegh, responsable offre agrivoltaïsme de chez CVE, nous expliquent comment CVE collabore avec les agriculteurs dans une démarche collective et territoriale.
Notre principal atout, c’est notre ancrage local. Pour réussir un projet de méthanisation ou de centrale solaire, il est indispensable d’en faire un projet de territoire qui bénéficie à l’agriculteur et également à d’autres acteurs du territoire : citoyens, collectivités locales, autres acteurs économiques et autres agriculteurs.
Marie Laure Charlot, responsable développement biogaz, CVE
Retrouvez l'interview complète ici.
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